C’est par une belle journée de fin d’hiver que Francesco Tristano, pianiste aux multiples facettes et à la carrière internationale, a permis à tous les élèves de l’école de voyager au travers des siècles, depuis notre terrasse tant convoitée.
D’abord une pièce de Bach, la source, le point de départ de tout voyage musical. Et déjà quelques sons apparaissent, sortis tout droit des différents synthétiseurs de l’artiste.
Comme une évidence, Mozart a suivi. Les compositeurs à perruque comme les nomme Francesco !
C’est alors que le pianiste nous fait basculer dans son univers électronique en revisitant une pièce de Rameau qu’il rebaptise « electric mirror » extraite de son dernier album : « Tokyo Stories » et dans laquelle il nous montre tout son travail d’artiste compositeur.
Il enchaîne ensuite avec Neon City, extrait aussi de Tokyo stories, pour conclure par une composition plus ancienne jouée avec un curieux synthé, debout, casqué…
Les enfants se sont « électrifiés » au fur et à mesure du concert, d’abord perplexe, assis, silencieux, dans l’écoute pour finir tous debout le sourire aux lèvres, notre terrasse est devenue le Dancefloor le plus envié de Barcelone ! Merci au personnel de Munner pour cette organisation !